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Au fil des pages les auteurs, Daniel GARNIER et Rémy LEROUX, nous convient à une promenade dans les rues de Vierzon pour retrouver ces établissements, Bistrots, Restaurants et Hôtels, qui existaient pendant la première moitié du 20e siècle et dont certains, peu nombreux, fonctionnent toujours

Maurice Mac-Nab est un poète et chansonnier
° le 4 Janvier 1856 à Vierzon – † le 25 Décembre 1889 à Paris
Nouvelle Édition Avril 2024
Il publia : Poèmes mobiles (1885) et Poèmes incongrus (1887),
Ses Chansons du Chat Noir (1890) furent éditées après son décès.

Émile PÉRAUDIN (°1865 †1935)

Secrétaire de Mairie de Vierzon-Ville (1890 à 1900)
Maire de Vierzon-Ville (1900 à 1929)
Conseiller Général du canton de Vierzon (1907 à 1925)
Député du Cher (1924 à 1928)
Chevalier de la Légion d’honneur

Vie, réalisations et généalogie de Émile PÉRAUDIN

square Émile PÉRAUDIN

Denbac est surtout connu au travers de son fondateur, René DENERT, un céramiste originaire de la Marne.

René BALICHON qui l’a rejoint peu après la fondation de la manufacture a quant à lui laissé son empreinte au travers du réseau commercial, et poursuivi l’activité après le décès de René DENERT.

Souhaitant honorer leur mémoire à notre façon, c’est sous l’angle généalogique que nous avons entrepris ce travail en commençant par René BALICHON, vierzonnais de souche depuis le début du XVIIe siècle.

Nous concluons ce travail avec un chapitre sur l’entreprise DENBAC.

La généalogie de Claude Joseph GRENOUILLET
° 1789 à Ivoy-le-Pré – † 1856 (67 ans) à Orville
x 1830 (41 ans) à Vicq-sur-Nahon (Indre) avec
Catherine Charlotte Dorothée Valérie GODEAU d’ENTRAYGUES (19 ans)
maître de forge à Vierzon
Maire de Vierzon-Villages (1841 – 1848)
puis Maire d’Orville jusqu’à son décès.

Marie Alix Josèphe GRENOUILLET – GODEAU d’ENTRAIGUES

° le 29 Janvier 1832 à Vierzon
† le 11 Juin 1923 à Paris VIII à 91 ans
une des 3 enfants de
Claude Joseph GRENOUILLET

Je profite de l’opportunité de cette 4ème réédition, pour apporter à cette œuvre les corrections et additions dont je laissais entendre dans ma conclusion de l’édition précédente.
Alain RIVES